De l'étudiante débutante à sa première cliente
Oct 07, 2025
Son premier contrat à 4 500$ : l'histoire que personne ne raconte
Je dois vous raconter quelque chose qui m'a complètement renversée.
Une de mes étudiantes — appelons-la Marie — s'est décrocher un contrat de 4 500$. Bon, vous allez me dire, c'est génial mais c'est pas non plus la lune. Sauf que Marie venait à peine de commencer sa formation. Trois semaines! Elle ne connaissait strictement rien aux subventions avant ça.
Et ce n'est pas parce qu'elle est exceptionnellement brillante ou qu'elle a un réseau en or. Ce qu'elle a fait, n'importe qui peut le faire. Mais bien peu osent.
Le moment où elle a tout compris
Vous savez ce qui se passe généralement quand quelqu'un commence une formation? On se dit qu'on va d'abord tout apprendre, devenir expert, être "prêt", et APRÈS on va chercher des clients. Marie aussi pensait comme ça au début.
Puis un soir, après avoir écouté une des vidéos de ma formation où j'encourage mes étudiants à prendre les devants, elle m'a parlé d'un organisme qu'elle connaissait. Un OBNL qui fait un travail incroyable dans sa communauté. Elle en parlait avec des étoiles dans les yeux, vous voyez le genre? Cette passion qui ne ment pas.
Je lui ai demandé : "Pourquoi tu ne les appelles pas?"
Silence. Vous auriez dû voir sa tête. "Mais... je viens juste de commencer la formation. Je ne suis pas prête. Je ne peux pas..."
"Pourquoi pas?"
Elle n'avait pas vraiment de réponse. Juste cette peur qu'on a tous. Cette petite voix qui dit "t'es pas assez bon, pas assez expérimenté, pas assez crédible."
Ce qu'elle a fait le lendemain matin
Marie a décroché son téléphone. Elle tremblait un peu, elle me l'a avoué plus tard. Elle a appelé la directrice de l'organisme et lui a dit, simplement, qu'elle avait suivi leur travail depuis longtemps, qu'elle croyait profondément à leur mission, et qu'elle était en train de se spécialiser en recherche de subventions.
Pas de pitch de vente. Pas de promesses extravagantes. Juste de l'authenticité pure.
La directrice a été touchée. Elle lui a proposé de passer prendre un café. Comme deux êtres humains qui discutent d'un projet qui leur tient à cœur.
La rencontre qui a tout changé
Pendant cette rencontre, Marie n'a pas parlé de ses compétences. Elle n'a pas sorti son CV. Elle a posé des questions. Elle a écouté. Vraiment écouté.
La directrice lui a parlé de leurs défis de financement, de ce projet qui dort dans un tiroir depuis deux ans parce qu'ils n'ont pas les fonds, de cette frustration de devoir refuser des gens alors qu'ils savent qu'ils pourraient les aider.
Marie prenait des notes. Elle hochait la tête. Elle comprenait.
Pour se présenter : elle le fit en toute transparence en annonçant d'emblée qu'elle suivait ma formation et qu'elle commençait à peine. À la fin du café, elle n'a pas dit "je crois que je peux vous aider avec ça". Elle a dit "laissez-moi regarder quelque chose et je reviens vers vous."
La proposition qui tue
Trois jours plus tard, Marie avait préparé un document. Pas un document de 30 pages bourré de jargon. Un document clair, concret, qui disait essentiellement : "Voici votre problème. Voici comment je peux le résoudre. Voici ce que ça va coûter. Voici ce que ça va vous rapporter."
Elle avait identifié trois programmes de subventions parfaitement adaptés à leur projet dormant. Elle avait calculé le potentiel de financement. Elle avait même esquissé un calendrier de dépôt.
La directrice a lu la proposition. Elle a appelé Marie le soir même. "Quand est-ce qu'on commence?"
4 500$. Son premier contrat. Trois semaines après le début de sa formation.
Ce que personne ne vous dit sur le premier contrat
Voici le truc que tout le monde oublie de mentionner : ce premier contrat ne vaut pas 4 500$. Il vaut infiniment plus.
Parce que maintenant, Marie n'est plus "une débutante qui cherche de l'expérience". Elle est "la consultante qui travaille avec cet organisme". Dans le monde des OBNL où tout le monde se connaît, ça change absolument tout.
La semaine dernière, la directrice l'a présentée à deux autres organismes. Hier, elle a reçu une demande d'information d'un troisième. Le bouche-à-oreille fait son œuvre.
Mais au-delà de ça, Marie a gagné quelque chose d'encore plus précieux : la confiance en elle. Elle sait maintenant qu'elle peut le faire. Pas dans six mois quand elle sera "prête". Maintenant.
Ce qui fait vraiment la différence
Je vais être honnête avec vous. Ce n'est pas la formation qui a fait la différence pour Marie. La formation lui a donné des outils, des connaissances, un cadre. Mais ce qui a vraiment tout changé, c'est qu'elle a osé.
Elle a osé croire qu'elle avait quelque chose à offrir. Elle a osé approcher un organisme qu'elle admirait. Elle a osé proposer ses services alors qu'elle était encore en apprentissage.
Et vous savez quoi? L'organisme s'en fiche qu'elle soit débutante. Ce qu'ils voient, c'est quelqu'un qui croit en leur mission, qui comprend leurs besoins, et qui arrive avec des solutions concrètes.
La plupart des consultants expérimentés ne font même pas ça. Ils envoient des CV génériques, des offres de service plates, des promesses vides. Marie est arrivée avec son cœur et un plan d'action. Devinez qui a gagné?
Et vous dans tout ça?
Je vous raconte cette histoire parce que je sais qu'il y a des Marie partout. Des gens qui ont cette petite étincelle, cette envie de faire une différence, mais qui attendent le "bon moment".
Laissez-moi vous dire quelque chose : le bon moment n'existe pas. Il n'existera jamais. Vous ne vous réveillerez pas un matin en vous disant "ça y est, maintenant je suis prêt".
La seule différence entre Marie et tous ceux qui attendent encore, c'est qu'elle a accepté d'avoir peur et de le faire quand même.
Alors voici ma question pour vous : quel est cet organisme qui vous inspire? Celui dont vous suivez le travail, celui qui vous fait dire "wow, j'aimerais vraiment contribuer à ça"?
Vous le voyez? Bon. Maintenant, qu'est-ce qui vous empêche de décrocher le téléphone?
Parce que pendant que vous attendez d'être "prêt", il y a des projets qui dorment dans des tiroirs. Des missions qui manquent de financement. Des gens qui pourraient être aidés mais ne le sont pas.
Votre premier contrat ne vous attend pas. Il vous cherche.
La vraie question, c'est : allez-vous le laisser vous trouver?
Si l'histoire de Marie vous parle et que vous voulez découvrir comment transformer vos compétences en impact réel dès maintenant, j'ai créé une formation gratuite qui vous montre exactement par où commencer. Pas de théorie creuse. Juste les stratégies qui fonctionnent vraiment.